Siccità al Nord: c’è il rischio che continui anche nel 2023

il y a un risque qu’il se poursuive en 2023

Le débit du Pô est également inférieur de plus de 60 % à la moyenne historique en de nombreux points d’étude. Alors que les pluies d’octobre n’ont pas inversé la tendance. Avec l’assèchement des nappes phréatiques au cours des derniers mois, le risque est que la pénurie d’eau se poursuive l’année prochaine également

La note de l’Autorité du Bassin du Pô sur la sécheresse dans le Nord

(Rinnovabili.it) – Tous les indicateurs hydro-météorologiques-climatiques sont toujours négatifs. Les pluies tombées début octobre n’ont pas suffi à raviver une situation encore profondément compromise. Et les températures nettement supérieures à la moyenne aggravent encore le tableau. Là sécheresse dans le Nord dessine une « longue traîne » en cette première moitié d’automne, après les records historiques négatifs du printemps et de l’été. Mauvaises nouvelles: le risque est de compromettre l’année prochaine également.

La communique l’Autorité du Bassin du District du Pô dans la mise à jour habituelle sur l’état de la crise de l’eau dans les régions du nord. Les valeurs des débits du « grand fleuve » aux points de sondage racontent sans ombres l’ampleur du déficit hydrique. A Plaisance, 297 m3/s débitent, contre une valeur moyenne sur la période qui devrait plutôt mesurer 770 m3/s. A Crémone c’est encore pire : 387 m3/s au lieu de 961. A Boretto et Borgoforte, entre Reggio et Mantoue, le débit du Pô est proche de 50 % de la moyenne historique de la période. Mais il s’effondre à nouveau vers l’embouchure : à Pontelagoscuro il y a 498 m3/s au lieu de 1213.

Lire aussi La sécheresse cet été ? Rendu 6 fois plus probable par le changement climatique anthropique

Le niveau de sévérité hydrique reste donc « Plutôt grand » et se situe à des niveaux plus alarmants, en particulier dans les domaines de Piémont Et Lombardie. Ici le « L’extrême maigre ne montre aucun signe de diminution ». Presque tous les facteurs, présents et futurs immédiats, jouent en faveur d’une prolongation de la sécheresse au Nord. « Les pluies à l’horizon ne sont attendues qu’en fin de mois, alors que les températures enregistrées dans la première décade d’octobre sont même 2/3 degrés au-dessus des valeurs maximales par rapport aux moyennes de la période »écrit l’Autorité dans une note.

« En plus de cela, il convient de noter que la pénurie d’eau accumulée depuis le début de l’année a, dans le même temps, affecté l’appauvrissement des nappes souterraines qui ont ainsi absorbé la quasi-totalité des pluies les plus récentes, confirmant une situation hydrologique générale. scénario – aussi bien du Grand Fleuve que de ses affluents – très déficient »poursuit la note.

Lire aussi Sécheresse dans le nord de l’Italie : pour le JRC, cela se poursuivra jusqu’en novembre

Mauvais aussi moi lacs alpins. En Lombardie, ils ont des niveaux de remplissage « à des niveaux historiquement bas avec la même quantité minimale de débits de ressources en eau libérés », un total de 169 ml de m3 empotés contre une moyenne normale de 550. Le lac Majeur n’est plein qu’à 19%, celui de Côme à 9 %, celle d’Iseo-d’Idro à 8%, le lac de Garde à 22%.

A lire également