Le gouvernement a alloué plus de 13 000 euros à une étude des risques climatiques dans une perspective de genre

Le gouvernement a alloué plus de 13 000 euros à une étude des risques climatiques dans une perspective de genre

    Il Gouvernement 13 303,95 euros ont été affectés au rapport « Les risques climatiques dans une perspective de genre. Perception, positionnement et adaptation chez les femmes et les hommes ».

    Les travaux réalisés par l’entreprise Réseau 2 Consultants Réseau, qui a présenté une offre à 10 995 euros HT qui, avec eux, est passée à 13 303,95 euros. Cependant, c’est la seule offre qui a été présentée pour réaliser les travaux commandés par le Institut des femmes.

    Ceci est indiqué dans une réponse écrite du gouvernement à laquelle Europa Press a eu accès à la question concernant le coût de ladite étude soulevée par le groupe parlementaire voixqui a voulu connaître le montant alloué par le budget exécutif à cet effet.

    L’objet du marché, dont l’assiette hors taxes s’élevait à 12 000 euros, était de réaliser une « analyse diagnostique sous l’angle du genre sur la situation des femmes et des hommes, les impacts, la vulnérabilité, la perception et la gestion des risques dans les situations de catastrophes dues à conditions et un document de propositions et de recommandations ».

    Le Gouvernement précise dans sa réponse que les lignes d’action du rapport sont celles orientées vers un développement résilient au changement climatique et que apporter plus d’avantages à l’ensemble de la population as, celles propices à réduire ou à éviter les émissions de gaz à effet de serre ; l’accès à l’énergie et aux technologies propres qui améliorent la santé, en particulier dans le cas des femmes, des garçons et des filles ; électrification bas carbone ; la marche, le vélo et les transports en commun, pour améliorer la qualité de l’air, la santé et les opportunités d’emploi, tout en favorisant l’équité.

    Précisément, le gouvernement souligne que « comme dans de nombreux autres domaines de la vie, la crise climatique n’est pas impartiale en termes de genre », puisque de nombreux rapports internationaux confirment que les femmes et les filles à travers le monde subissent les pires effets du changement climatique, exacerbant le genre existant l’inégalité et posant des menaces uniques pour leurs moyens de subsistance, leur santé et leur sécurité.

    L’exécutif rappelle également à Vox que dans le Sommet Action Climat des Nations Unies célébré dans New York Le 23 septembre 2019, l’Espagne était en tête avec Par l’initiative de placer la variable genre au centre des politiques de lutte contre le changement climatique, organisée à Madrid en décembre de la même année pour la COP25 Conférence des Parties.

    Enfin, il ajoute qu’en raison du manque de données ventilées par sexe dans l’analyse de la question, l’Institut enquête sur les écarts entre les sexes à la suite de la crise climatique et le rapport commandé vient après l’analyse sur le genre et le changement climatique. réalisées entre 2019 et 2020.

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