Tutela biodiversità: 2 nuove procedure di infrazione UE contro l’Italia

2 nouvelles procédures d’infraction de l’UE contre l’Italie

L’Italie va dans la direction opposée à celle indiquée par la stratégie de l’UE pour la protection de la biodiversité

(Rinnovabili.it) – Les tortues, les dauphins et les doubles mettent l’Italie en difficulté. La Commission européenne il a commencé hier deux procédures d’infraction contre l’Italie pour non-respect de la directive Habitats, de la directive Oiseaux et du règlement REACH sur les substances chimiques dangereuses pour la santé et l’environnement telles que la tête. Les raisons? Pêche irresponsable et plomb dans les munitions des chasseurs, ce qui met en péril les engagements en matière de faune protection de la biodiversité.

Les lacunes de Rome dans la protection de la biodiversité

La première procédure concerne le manquement de l’Italie à surveiller et à prévenir prise accessoire des cétacés, des tortues et des oiseaux marins par les bateaux de pêche. De nombreux points ont été soulevés par Bruxelles. Il n’existe pas de système permettant de surveiller la capture et la mise à mort accidentelles d’espèces protégées telles que grand dauphin et le tortue caretta carettatous deux strictement protégés par la directive Habitats.

Mais l’Italie a également échoué en termes de recherche et d’autres mesures de conservation. « pour garantir que la capture et la mise à mort accidentelles n’aient pas d’impact négatif significatif sur la population d’espèces protégées ». Il manque encore des mesures adéquates « pour éviter toute perturbation importante de plusieurs espèces et oiseaux marins tels que le puffinle Puffin de Yelkouan, l’océanite tempête et le cormoran commun dans les sites Natura 2000 désignés pour leur conservation ». Enfin, l’Italie n’a pas obtenu de résultats adéquats dans le suivi de l’état de conservation de plusieurs autres espèces protégées.

Et puis il y a le chapitre chasse. Bruxelles constate que les lois italiennes sur la chasse non seulement ne respectent pas la protection de la biodiversité, mais ne parviennent pas non plus à éviter de polluer l’environnement avec des substances nocives. Le règlement REACH, rappelle la Commission, « restreint l’utilisation de grenailles contenant du plomb dans ou à proximité des zones humides afin de protéger la sauvagine, l’environnement et la santé humaine ». Point non pris en considération dans la législation italienne.

Et les lois de Rome vont également à l’encontre de la directive Oiseaux, car elles donnent aux régions le pouvoir d’autoriser l’abattage ou la capture d’espèces sauvages. « même dans les zones où la chasse est interdite, comme les zones protégées, et pendant la période de l’année où la chasse est interdite ».

Pour les deux procédures d’infraction, L’Italie a deux mois pour répondre aux accusations et remédier aux lacunes.

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