Trattato globale sulla plastica: per l’Italia serve un “cambiamento sistemico”

Traité mondial sur les plastiques, Italie : un « changement systémique » s’impose

photo par VOL : D chéri Unsplash

Le 1er cycle de négociations pour un traité mondial sur les plastiques se tient en Uruguay jusqu’au 2 décembre

(Rinnovabili.it) – La seule façon de vraiment tomber en panne pollution plastique c’est agir en amont en réduisant la production. En plus de prendre les mesures appropriées à chaque autre étape du cycle de vie d’un produit. C’est le poste le plus ambitieux qui a atterri cette semaine à Punta del Este, en Uruguay, où des négociations internationales sont en cours pour mettre en place le futur traité mondial sur les plastiques.

L’Union européenne et la High Ambition Coalition formée, entre autres, par la Grande-Bretagne et le Canada, demandent une approche prudente de l’ensemble du cycle de vie. Pour ce bloc de pays, le traité mondial sur les plastiques qui résultera à l’issue des négociations pilotées par l’Unep, prévues pour 2024, ne doit pas seulement imposer limites juridiquement contraignantes mais aussi de se dépêcher : en fait ils poussent pour arriver à zéro pollution en 2040.

De nombreuses études scientifiques soutiennent que la baisse de la production est essentielle pour atteindre cet objectif. Même avec un recyclage maximal, les estimations d’un article publié dans Science, par exemple, révèlent que nous serions toujours au moins 17 millions de t de plastique par an. Selon l’Unep, la pollution plastique au rythme actuel il devrait doubler d’ici 2030. Et continuer à produire allonge encore la « longue traîne » de ce type de pollution, représentée par les microplastiques et leur capacité à s’accumuler et à voyager tout au long de la chaîne alimentaire.

L’Italie et le Traité mondial sur les plastiques

« L’outil que nous développerons dans ce Comité devrait devenir un véritable phare en matière d’engagements contraignantsgli standard, gli approcci volontari e l’impegno della società civile, il potenziamento della ricerca scientifica per contrastare gli impatti sulla salute umana e sull’ambiente e per valutare le soluzioni a lungo termine e il sostegno alla cooperazione internazionale per progetti congiunti pubblico- privé », il prétend dans un communiqué la délégation italienne.

Le traité mondial sur les matières plastiques, selon la position italienne, doit aboutir à un « changement systémique » et être basé « sur le principe de précaution, sur la responsabilité élargie du producteur et sur le principe ‘le pollueur paie' ».

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