La nouvelle loi irriguée Doana, un atout électoral pour 28M

La nouvelle loi irriguée Doana, un atout électoral pour 28M

Lors des élections régionales du 19 juin, le PSOE n’a pas seulement perdu la majorité qu’il avait au Parlement andalou depuis le rétablissement de la démocratie. La débâcle socialiste, le pire résultat électoral de son histoire, a fait tomber des querelles qui semblaient irréductible et l’un d’eux était la région de Condado, dans la province de Huelva.

Cette zone est précisément le théâtre de la conflit que les agriculteurs et les défenseurs de l’environnement entretiennent depuis des années avec les cultures irriguées comme protagonistes. Certains veulent étendre la zone autorisée à planter des baies et d’autres s’y opposent totalement, arguant que ce n’est pas durable car il n’y a pas assez d’eau et que Doana est en danger.

Dans ce contexte, le 19J s’est terminé avec des résultats sans précédent dans des villes comme Lucena del Puerto, où le PSOE était troisième derrière le PP et Vox ou la victoire du PP sur le PSOE à Almonte, Moguer, Rociana del Condado et Bonares et, en plus en raison de l’attraction de Juanma Moreno, cela s’explique par l’initiative que le PP et Vox ont défendue lors de la législature précédente pour régulariser autour 800 ha arrosé précisément là, dans la région de Condado, dans ce qu’on appelle la couronne nord de Doana.

Ce projet qui est resté -après la opposition ferme du gouvernement central, des écologistes et, surtout, de l’Union européenne – parqués reviennent désormais sur la scène politique poussés seuls par le populaire et avec un horizon temporel très clair, les élections municipales du 28 mai.

Le PP a récemment annoncé publiquement son intention de reprendre ce projet après que Vox ait tenté de faire pression en présentant le texte qui avait été exclu au Parlement et, selon des sources confirmées à EL MUNDO populairela facture est presque fini et c’est une question de semaines, bien qu’ils n’osent pas donner de délais, qu’il se présente dans l’hémicycle.

boucles d’oreilles à franges

L’écriture du texte est pratiquement terminée et il ne reste que quelques franges, ont expliqué les sources consultées. Sur le fond, le projet législatif ne diffère pas trop de celui qui a échoué lors de la dernière législature, mais l’accent est beaucoup plus mis sur ce que le PP considère comme son point le plus faible : l’eau.

Le nouveau projet a un impact, détaillent ces sources, sur les droits des agriculteurs laissés pour compte dans le règlement mis en place en 2014, mais aussi sur le fait que ces droits à l’irrigation ne se matérialiseront pas au détriment des eaux souterraines, mais seulement quand il y a de l’eau peu profonde grâce à travaux d’infrastructure en cours.

Cela n’a rien à voir avec Doana, insiste le PP, conscient malgré tout des réticences et des oppositions que cette initiative va susciter. Pour cette raison, disent-ils, ils comptent sur les personnes concernées et ils veulent faire un effort particulier pour convaincre Bruxelles.

C’est possible, affirment-ils lorsqu’on les interroge sur la difficulté de satisfaire et de convaincre tout le monde d’aller de l’avant avec la régularisation de l’irrigation dans une zone aussi sensible.

La idea, cuentan desde el Partido Popular, es que la proposicin entre en el Parlamento lo ms pronto posible y que pueda estar cerca de aprobarse cuando lleguen los comicios locales de mayo o, incluso, aprobado, aunque eso depender del ritmo de la tramitacin y des contributions des autres groupes qui sont incorporés, puisque le PP entend atteindre le maximum de consensus possible et c’est pourquoi il a choisi la formule de la proposition de loi.

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