L'écrivain de Francoargelino Boalem Sansal, condamné à cinq ans de prison en Algérie
L'écrivain Franco Algelino Boalem Sansal a été condamné ce jeudi à Alger à une peine de cinq ans et une amende de 3 470 euros. Le bureau du procureur a demandé 10 ans pour « tenter contre l'intégrité de l'État » après des déclarations dans un environnement français. Sansal, qui a choisi de se défendre parce qu'il ne pouvait pas contacter ses avocats, était en prison provisoire depuis la mi-novembre 2024. Lorsqu'il a entendu la peine en arabe, il s'est approché du juge et lui a demandé de le lire en français depuis qu'il ne l'a pas compris, informe-t-il. L'affaire se produit dans le contexte de la plus grande crise entre la France et l'Algérie depuis des décennies.
Patient cancéreux et 75 ans dans le registre civil (bien que son âge réel puisse être d'environ 80), le sansal est l'un des plus importants, traduits et lus en français. Sa voix critique contre le gouvernement de l'Algérie, dont il était haut fonctionnaire dans le passé, dans des déclarations à un média français, a conduit à un processus marqué par le sécrétisme.
L'affaire ouverte contre lui découle de son arrestation à l'aéroport d'Alger après la publication d'une interview dans un environnement français de tendance ultra-droite dans laquelle il a dit que Paris avait donné un territoire marocain à l'Algérie pendant l'ère coloniale, les mots considérés par Alger comme un affront à sa souveraineté nationale.
Sansal, français nationalisé il y a un an, a vu comment son jugement est devenu le théâtre d'une lutte politique dans l'un des moments de relations les plus tendus entre l'Algérie et la France, l'ancien pouvoir colonial. His main lawyer, the French lawyer François Zimeray, considered at the beginning of the month at a press conference that Sansal had been used as a “host” and “Turk's head” in the crossfire of the diplomatic conflict that emerged after the implicit recognition of Paris of Moroccan sovereignty over the Western Sahara, the Spanish ex -colony whose self -determination defends Algiers through its support for its support for its Support pour son soutien à son soutien. Polisario
L'écrivain a un solide réseau de soutien public. Son avocat a demandé au président algérien, Abdelmadjid Tebboune, un geste de « l'humanité » avec Sansal. « Son âge et sa santé rendent chaque jour d'emprisonnement plus inhumain », a ajouté Zimeray. Il y a une semaine, le président français, Emmanuel Macron, avait demandé la liberté de « ce grand écrivain » et avait lancé un message à son homologue algérien, faisant confiance à sa « clairvoyance » et s'assurant que les deux savaient que les accusations n'étaient pas sérieuses.
Au cours du procès, Sansal a nié toute intention d'attaquer son pays et a expliqué qu'il s'était limité à l'exercice de sa « liberté d'expression », bien qu'il ait reconnu qu'il n'avait pas mesuré la portée de ses déclarations, selon l'AFP.
