Les communes ont un mois pour détailler les dégâts causés par l'incendie d'Alto Mijares qui a détruit 4 700 hectares de forêt

Les communes ont un mois pour détailler les dégâts causés par l’incendie d’Alto Mijares qui a détruit 4 700 hectares de forêt

    La session plénière du Consell a convenu ce vendredi d’ouvrir la période de 30 jours afin que les municipalités touchées par l’incendie d’Alto Mijares à Castellón, originaire de Villanueva de Viver, puissent présenter leurs estimations des dommages causés par l’incendie qui a détruit quelque 4 700 hectares de foresterie terrestre au mois de mars.

    De même, le gouvernement valencien a également approuvé le bureau unique de post-urgence que la ministre Gabriela Bravo a déjà annoncé au début du mois, ainsi que le plan global de réactivation dans le but d’atténuer les effets de cet incendie de forêt.

    La session plénière du Consell s’est tenue ce vendredi précisément à Montanejosl’une des villes touchées par cet incendie, qui s’est propagé à travers les municipalités de Castellón de Fuente la Reina, Montón, Montanejos, Puebla de Arenoso et départ de Villanueva de Viver.

    « Le 23 mars, un incendie s’est déclaré à Villanueva de Viver qui a nécessité un grand effort pour l’éteindre afin de contenir la zone touchée et de défendre les vies humaines, les habitations et les infrastructures, mais malheureusement, diverses municipalités ont subi des conséquences considérables, En plus de l’impact environnemental, sur les infrastructures, les cultures et autres installations productives», a souligné la vice-présidente et porte-parole du Consell, Aitana Mas.

    Maintenant c’est établi dans les 30 jourscompté à partir du jour suivant la publication de l’accord au Journal officiel de la Generalitat Valenciana (DOGV), afin que les conseils des municipalités concernées puissent présenter des estimations des dommages aux infrastructures et aux biens publics, aux installations et aux infrastructures agricoles ou à d’autres secteurs autres que forestiers.

    Ils peuvent également présenter les dommages subis par les biens mobiliers et immobiliers des personnes physiques ou morales qui n’étaient pas couverts par le système d’assurance.; ainsi que, le cas échéant, les dépenses extraordinaires et urgentes qui ont dû être engagées à la suite de l’incendie de forêt, y compris la documentation correspondante.

    Tout le protocole à respecter pour recevoir de l’aide

    Le bureau de post-urgence permet aux communes du périmètre incendie de traiter les demandes d’aide des différentes administrations.

    L’Agence valencienne de sécurité et d’intervention d’urgence et le ministère de l’Agriculture mèneront, comme il est dit, « toutes les actions nécessaires en ordonnant propre média et engager la procédure administrative de dotation de personnel officiel par accumulation de tâches ».

    L’objectif de toutes ces actions est que peuvent-ils revenir à la normale dès que possible toutes les zones touchées par l’incendie de forêt de Villanueva de Viver.

    Candidatures soumises par la corporation locale seront évalués par ce bureau post-urgenceque d’être en charge de faire un estimation économiquequi sera soumis à la commission interministérielle pour son approbation ultérieure par le Consell.

    En outre, l’exécution des mesures correspondantes peut être effectuée par le procédure d’investissement direct ou par la procédure de subvention directe.

    Plan complet de réactivation

    D’autre part, le Consell préparera, en coordination avec les institutions et les agents locaux des zones touchées, un plan global de réactivation socio-économique des régions touchées, également touchées par les effets du dépeuplement, a-t-il ajouté.

    Ce plan envisage aides directes aux communes, lignes financières bonifiées ou plans extraordinaires pour l’emploi et déployer des actions de réparation des dégâts causés par les incendies et pour la phase de restauration forestière et environnementale des communes incendiées.

    Il convient de rappeler l’énorme difficulté que les différentes municipalités qui ont subi la dévastation par les flammes ont dénoncé l’année dernière et en 2021, et que beaucoup d’entre elles ils ont dû renoncer à l’aide levées par les administrations publiques car, à leur tour, elles réclamaient une contribution comprise entre 40 et 60 % du budget nécessaire à la régénération.

    Il ne faut pas oublier qu’en octobre dernier, on a découvert que même si Béjs il a eu du mal à boucler le bilan des dommages et intérêts pour une aide « millionnaire » face à la dévastation de 98% de son mandat municipal lors du grand incendie d’août, Azubar, qui a pris feu en août 2021il se résigna à passer encore une année noire sans récolte et sans réponses.

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