Morena accélère pour protéger la loi de sécurité et le renforcement de la Garde nationale
L'extinction du Conseil national pour l'évaluation de la politique de développement social (CONEVAL), l'organisme autonome en charge des mesures de pauvreté, a été l'un des premiers plans agressés par la majorité parlementaire de Morena au cours du premier des 10 jours de la période extraordinaire de sessions que le Congrès. Il a commencé ce lundi et la décision prévoit de présumer que l'accélérateur a évacué une poignée de boucles d'oreilles législatives qui sont restées coincées, certaines pour des débats internes, des débats qui ont même provoqué l'intervention du président Claudia Sheinbaum.
Le package comprend au moins 22 réformes de grand projet, dont certaines priorités pour le président. De la lueur des opinions selon lesquelles le Sénat et la Chambre des députés ont l'intention d'approuver dans les prochains jours, les lois sur le système de sécurité nationale et le système national de recherche et de renseignement qui donnent des super pouvoirs en matière d'intelligence et d'enquête au Secrétariat de la sécurité et de la protection des citoyens (SSYPC) d'Omar García Harfuch. La loi de la Garde nationale est également marquée en rouge, et les réformes de sept réglementations, qui consomment le contrôle total de cette société entre les mains du Secrétariat à la défense, en plus de fournir des pouvoirs de recherche et d'espionnage à l'agence. Les deux pièces législatives cherchent à faire exploser la stratégie de sécurité du gouvernement national, qui n'a pas été en mesure de se lancer en raison de différences dans leur cabinet de sécurité, selon les législateurs de ces journaux proches des négociations.
La loi controversée de télécommunications et de radiodiffusion a également été répertoriée dans le paquet de questions de «priorité», bien qu'il ne soit toujours pas sûr qu'il puisse voyager dans cette période extemporanée. Dans le cas où les progrès sont toujours inconnus quels seront les changements qui s'appliqueront après les critiques causées par l'écriture de certains de ses articles qui ont soulevé la possibilité que le gouvernement « bloque » les plateformes numériques. La question maintient les législateurs dans l'incertitude, qui ne sont pas certain de leur pouce à la vapeur au Sénat plénière, en premier lieu, puis à envoyer à la chambre basse.
La Chambre des députés a approuvé, le premier jour des sessions, avec les votes du parti au pouvoir, la disparition de CONEVAL. Cette étape n'a été qu'une procédure qui a fini de consommer la réforme de l'année dernière avec laquelle une poignée d'organismes autonomes ont été éteints. Le changement a été envoyé au Sénat au milieu des critiques de la Pan, des bancs d'opposition et du mouvement des citoyens. Ils défendent qu'avec cette extinction, la transparence est perdue et que la responsabilité est dévaluée, laissant au gouvernement le pouvoir d'auto-évaluer. Les députés ont également approuvé des modifications pour limiter les retraits partiels du solde des gestionnaires de fonds de retraite (AFores) en cas de chômage.
Le droit du système national de recherche personnelle, la disparition forcée des personnes et celle de la concurrence économique sont également dans la liste des pentes à débloquer dans les jours suivants. En plus d'autres profils plus bureaucratiques, tels que les modifications à la loi générale de taxe et d'importation et d'exportation du Totoaba, une espèce en voie de disparition.
Sheinbaum est due au Congrès une poignée d'initiatives qui devraient envoyer les prochains jours afin que les sujets approuvés puissent être intégrés pendant une période extraordinaire. Entre autres, les réformes du Code fédéral des procédures pénales, de la loi fédérale contre le crime organisé, de la loi AMPARO, de la loi fédérale de la procédure litigieuse administrative et de la loi générale sur la santé.