Nuovo PNRR: tutti i tagli su dissesto idrogeologico e ambiente

toutes les coupes sur l’instabilité hydrogéologique et l’environnement

Le Premier ministre Giorgia Meloni et le président de la Commission européenne survolent les zones touchées par les inondations en Émilie-Romagne en mai dernier. Crédits: gouverneur.it CC-BY-NC-SA 3.0 IT

Le 27 juillet, la salle de contrôle du Palazzo Chigi a approuvé la proposition d’un nouveau PNRR

(Rinnovabili.it) – Parmi les 15,9 milliards de coupes (définancement) décidées par le gouvernement en nouveau PNRR beaucoup concernent l’environnement et les interventions de prévention et d’adaptation au changement climatique. En plus d’intégrer un chapitre sur le plan Repower EU, le proposition de révision du Plan National de Relance et de Résilience présenté hier soir par le ministre des Affaires européennes Raffaele Fitto dans la salle de contrôle du Palazzo Chigi emporte des ressources importantes notamment dans la lutte contre l’instabilité hydrogéologique. Mais pas seulement.

Fitto assure qu’il y a « la certitude » Ce « le financement d’une intervention trouvera un financement dans les autres programmes ». En pratique, ces 15,9 milliards devraient encore provenir, uniquement d’autres chapitres. Lequel? Le ministre a cité le Plan National Complémentaire au PNRRqui est doté d’environ 30 milliards de fonds nationaux, ei Fonds de la politique de cohésion de l’UE. Cependant, il n’existe pas à l’heure actuelle de réelle garantie que les mesures du PNRR seront effectivement couvertes par ces autres sources de financement.

Voici toutes les mesures du nouveau PNRR sur le volet environnement et climat qui ont été définancées.

Nouveau PNRR, ce qui change sur le chapitre instabilité hydrogéologique

réduit de moitié les fonds disponibles pour le contraste avec l’instabilité hydrogéologique. Le Plan National de Relance et de Résilience prévoyait initialement 2,49 milliards sur cette mesure (mission 2, volet 4, investissement 2.1), le nouveau PNRR annule 1,287 milliard. Les deux mesures envisagées sont concernées, 2.1a et 2.1b, mais de manière différente.

Les évolutions de M2C4I2.1a dans le nouveau PNRR

La mesure 2.1a concerne la prévention de l’instabilité hydrogéologique par interventions structurelles et non structurellesa pour objectif de sécuriser 1,5 million d’Italiens vivant dans des zones à risque et est dirigé par le ministère de l’Environnement et de la Sécurité énergétique.

Ici, le gouvernement annule tout financement de ces projets « en raison de leur nature de projets existants ». Qu’est-ce que ça veut dire? L’exécutif soutient qu’ils doivent être revus car ils précèdent l’entrée en vigueur de la loi réforme des procédures d’intervention sur les instabilités hydrogéologiquesapprouvé début 2022, qui a simplifié les procédures de financement des interventions, renforcé les structures techniques d’appui aux commissaires extraordinaires et amélioré le fonctionnement des Autorités de Bassin et des provinces.

De plus, selon le gouvernement, ces projets sont antérieurs à la PNACC, le Plan National d’Adaptation au Changement Climatique. Pourtant, il n’existe pas encore : l’exécutif Meloni a présenté un projet en décembre 2022, qui est désormais en phase de consultation publique. Il n’y a pas encore de date pour son adoption définitive.

En effet, des projets pour cette mesure ont déjà été présentés mais le processus de sélection est toujours en cours et devrait en théorie être bouclé d’ici la fin de l’année. Concrètement, de quel type de projets s’agit-il ? Des interventions telles que la construction de devaient s’appuyer sur cette ligne de financement bassins de rétention et réservoirs, dragage de rivièreet similaires.

Les projets sur l’instabilité aux mains de la Protection Civile

La situation pour la mesure M2C4I2.1b est différente, l’autre moitié des fonds pour l’instabilité hydrogéologique. Ici, le gouvernement n’a pas touché au financement, aussi parce que 1,1 milliard ont déjà été alloués (sur 1,2). Cette mesure appartient au Protection civile et concerne des projets de reconstruction dans des zones touchées par des catastrophes environnementales antérieures.

Ici, le gouvernement propose de « modifier la description du type d’intervention et proposer la réduction de l’objectif final dans le texte du CID », c’est-à-dire l’annexe au PNRR qui décrit les buts, les objectifs, les indicateurs et les délais de mise en œuvre de l’appui financier. La modification sert très probablement à obliger la Commission à « digérer » des mesures déjà financées qui pourraient ne pas être conformes aux objectifs de cette intervention. Sur plus de 1 700 projets présentés, en effet, certains peuvent difficilement être classés comme des mesures d’instabilité hydrogéologique et de risque d’inondation.

Les autres mesures définancées par la révision du Plan National de Relance et de Résilience

Ils n’ont pas leur place dans le nouveau PNRR 110 millions de la mesure de protection et de valorisation des espaces verts urbains et extra-urbains (qui vaut un total de 330 millions). De quoi s’agit-il? L’objectif était de planter 6,6 millions d’arbres et de créer 6 600 hectares de nouvelles forêts sur le territoire des 14 villes métropolitaines. Une intervention qui aurait bénéficié à la qualité de l’air, à la biodiversité, mais aussi à la résilience du tissu urbain aux fortes pluies et vagues de chaleur. La raison du financement est « l’impossibilité objective d’atteindre pleinement l’objectif », écrit le gouvernement.

D’autres mesures qui auraient eu un impact sur l’environnement et le climat et qui ont été coupées par le gouvernement font partie des interventions pour le valorisation du territoire et de l’efficacité énergétique des Communes (-6 milliards, beaucoup concernaient la sécurité des routes et en partie affectent aussi l’instabilité hydrogéologique), pour la régénération urbaine (3,3 milliards), et ai plans d’urbanisme intégrés (2,5 milliards). Le MASE perd alors toutes les ressources prévues pour le promotion de centrales renouvelables innovantes, y compris offshoresoit 675 millions.

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