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Bruxelles lance sa stratégie pour avoir des travailleurs plus qualifiés qui accélèrent la compétitivité de l'UE

L'Europe s'est lancée dans une carrière en arrière-plan pour améliorer sa compétitivité, mais elle n'ira nulle part, elle peut même ne pas commencer du tout, si vous n'avez pas de travailleurs qualifiés au sommet des défis industriels et technologiques dont une UE exige que cela cherche à ne pas tomber derrière d'autres blocs économiques, à l'est et à l'ouest de ses frontières. Et là, les vingt-sept ont suffisamment de lacunes. Par conséquent, la Commission européenne a présenté ce mercredi, un plan visant à améliorer les compétences des travailleurs – de l'éducation de base à l'école à sa formation continue tout au long de sa vie professionnelle – faciliter leur mobilité dans l'UE et, également, pour attirer la communauté supplémentaire la plus formée, en particulier dans les secteurs tels que la santé où de nombreux postes doivent couvrir.

« Nous parlons beaucoup de compétitivité, d'investissements, de technologies ou de décarbonisation … mais pour de nombreux désirs et ressources, nous devons être plus compétitifs, nous avons également besoin de personnes qualifiées, formées et talentueuses, à tous les niveaux pour y parvenir Firé formellement ce mercredi.

A plan that acquires urgency, according to Brussels, when the demographic line is seen: if almost four out of five SMEs have difficulties in finding workers with adequate capabilities, especially in areas such as artificial intelligence or quantum computing, the problem will not do more than to increase as society ages, with the consequent decline of the active population, of 265 million people in 2022 to 258 million in 258 million in 258 million in 258 million in 258 million 2030, selon les calculs des dirigeants communautaires.

Cependant, à un moment où Bruxelles recherche des ressources jusqu'à ce que les pierres financent leurs grands besoins en défense – le thème qui concentrera le sommet extraordinaire des vingt-sept jeudi, ainsi que l'Ukraine – et d'autres priorités pour stimuler l'industrie au-delà de la sécurité, le plan pour améliorer la compétitivité ne prévoit pas de nouveaux fonds. Mais le commissaire roumain défend qu'il est possible de faire une utilisation « plus intelligente » qui, actuellement, de manière très fractionnée dans plusieurs programmes, l'UE alloue l'éducation et l'amélioration des capacités, environ 150 000 millions dans son budget actuel.

Le plan présenté mercredi constitue, selon Mînzatu, une «réponse solide» pour lutter contre les lacunes de l'industrie en l'absence de travail et des compétences adéquates des travailleurs, à laquelle Bruxelles veut maintenant étendre l'offre de possibilités d'apprentissage continu tout au long de leur vie de travail ou de recyclage à d'autres secteurs. Il veut également promouvoir sa mobilité au sein de l'UE avec des initiatives qui facilitent la reconnaissance de leurs capacités et qualifications sur tout le territoire européen « peu importe où ils ont été acquis », entre autres, l'utilisation de «références numériques».

Mais d'autres carences plus fondamentales ont également été identifiées qui commencent dans la même vie éducative: d'une part, il y a le problème généralisé d'une inadéquation entre les besoins de l'industrie et les systèmes éducatifs qui « ne passent pas au même rythme » que les changements technologiques. En fait, Bruxelles soulignent que près de la moitié des jeunes manquent de capacités numériques de base et une baisse a également été observée dans leurs connaissances sur les mathématiques, la lecture et la science. Hence, the Union of Capacity is accompanied by a “Basic Capacity Action Plan” and a “Strategic Education Plan Stem (Science, Technology, Engineering and Mathematics, for its acronym in English) to“ improve skills ”in these subjects and, also, promote Stem careers, attract more girls and women to these professions – another of the“ lagoons ”identified – and boost the preparation before the digital transition before the digital transition Technologies propres.

En ce sens, le programme Bruxelles fixe plusieurs objectifs d'ici 2030: Réduisez à «moins de 15%» de faibles taux de performance en littératie, mathématiques, sciences et capacités numériques et garantir que la proportion des meilleurs résultats dans ce domaine est «au moins» de 15%. Vous souhaitez également atteindre des étudiants plus grands à tous les niveaux de ce type de carrières et augmenter progressivement le taux de femmes en eux. L'objectif, selon Mînzatu, est de « attirer un million de femmes dans l'éducation STEM pour 2030 ». Améliorer les conditions de travail des éducateurs et faciliter leur mobilité européenne, ainsi que renforcer le programme Erasmus, sont également dans les plans de l'exécutif européen.

Bien que le plan de Bruxelles semble beaucoup à l'intérieur, la Commission ajoute également un pilier externe, des mesures pour attirer des travailleurs qualifiés en commun. Et, malgré la croissance des antimigratio dans les pays croissants de l'UE, la vérité est qu'il y a une pénurie de travail dans des secteurs clés tels que la santé, l'informatique ou la construction qui nécessitent que l'Europe puisse attirer des étudiants, des chercheurs ou des professionnels formés à partir de pays tiers. Pour ce faire, Bruxelles présenteront, entre autres, cette année une «stratégie de visa» pour encourager l'arrivée des meilleurs étudiants, des travailleurs et des chercheurs formés et créer une «réserve de talents» dans le pacte migratoire pour «recruter en dehors de l'UE, en particulier dans les professions qui subissent une grave pénurie».

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