De la résilience à la révolution : mon voyage avec Greenpeace dans la mer des Sargasses

De la résilience à la révolution : mon voyage avec Greenpeace dans la mer des Sargasses

En tant que territoire britannique d'outre-mer, les relations des Bermudes avec les organismes internationaux et les nations étrangères compliquent souvent notre gouvernance locale et notre gestion de l'environnement, éclipsant parfois les voix de nos communautés locales.

Il est clair que nos relations avec le Commonwealth doivent être renforcées, notamment en abordant les questions environnementales de manière collaborative.

Le paradoxe d’être un pays du Commonwealth avec un contrôle limité sur nos propres eaux souligne les difficultés auxquelles les petites nations insulaires sont confrontées pour équilibrer la gouvernance mondiale et la souveraineté locale.

Les Bermudes, bien qu’elles ne soient qu’un petit point sur la vaste carte bleue, souvent négligées ou sous-estimées, ont la particularité d’être la seule masse continentale située dans les limites de la mer des Sargasses.

Malgré notre taille, nous sommes puissants et devrions diriger la conception de ce à quoi ressemblera le sanctuaire de la mer des Sargasses, en veillant à ce qu'il soit correctement conservé et préserve notre patrimoine culturel.

Nous devons affirmer la place qui nous revient à la barre lorsque nous discutons de la protection de nos eaux environnantes, compte tenu de notre proximité et de notre dépendance à l’égard de cet écosystème marin.

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