Tassa sulla CO2 alla frontiera: le novità del CBAM UE

l’UE lance la 1ère phase

Rue dépôtphotos.com

Le mécanisme d’ajustement carbone aux frontières fait partie du paquet Green Deal

(Rinnovabili.it) – Da domenica 1° ottobre, tutte le aziende europee che importano cemento, ferro, acciaio, alluminio, fertilizzanti, elettricità e idrogeno dovranno iniziare a rendicontare i volumi introdotti sul mercato UE e le emissioni di gas serra incorporate in questi Produits. C’est la première phase de Carbon Border Adjustment Mechanism (CBAM), la taxe sur le CO2 aux frontières développé par l’UE dans le cadre du Green Deal avec le Convient pour un paquet de 55.

Qu’est-ce que la taxe CO2 à la frontière ?

Le CBAM est le premier système au monde de droits de douane aux frontières pour les produits polluants. Présenté en juillet 2021 par la Commission européenne, il a pour objectif de ne pas faire perdre de compétitivité aux entreprises européennes car elles doivent se conformer à des normes environnementales et d’émissions plus strictes que celles des autres pays. Et empêcher les industries de décider de délocaliser leur production ailleurs pour augmenter leurs profits.

Lorsqu’il sera pleinement opérationnel, en 2026obligera les importateurs de certains produits à forte intensité carbone à payer une taxe lorsque les gaz à effet de serre émis pour fabriquer ces produits dépassent ceux qui auraient été émis si la production avait eu lieu en Europe dans le respect des normes communautaires.

En plus d’être une mesure de soutien au marché intérieur et aux politiques de l’UE en matière de transition énergétique, la taxe carbone aux frontières c’est aussi un instrument – ​​innovant et « inconfortable » – de diplomatie climatique. L’effet externe, en effet, est de promouvoir l’ambition climatique des pays étrangers et de la rapprocher de celle de l’Europe grâce à un effet de levier commercial.

Comment fonctionne CBAM maintenant

Mais pour l’instant, l’UE n’a fait que commencer une première phase de rodage. Les industries sont uniquement tenues de déclarer rapidement leurs importations, sans être encore tenues de payer des taxes. Le premier cycle de reporting couvrira le dernier trimestre de cette année et devra être soumis d’ici fin janvier 2024. Ensuite, il y a quelques concessions et beaucoup la flexibilité. Les entreprises peuvent utiliser des valeurs standards pour calculer le CO2 incorporé dans les produits importés et construire le reporting en fonction des règles en vigueur dans les pays de production.

« La phase transitoire servira de période d’apprentissage pour toutes les parties prenantes (importateurs, producteurs et autorités). Il permettra à la Commission européenne de collecter des informations utiles sur les émissions intégrées afin d’affiner la méthodologie pour la période définitive, qui démarre en 2026. », explique dans une note de la Commission européenne.

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