à Chennai flop sur les émissions
Pas de communiqué final conjoint pour Chennai G20 Environnement
(Rinnovabili.it) – Passer l’accord sur de nouveaux objectifs de réduction des émissions. Et avec lui l’accord sur tout autre point saute, du budget carbone à la question des émissions historiques. Le G20 Chennai Environnement il s’est clôturé le 28 juillet sans déclaration finale, seulement avec un résumé des divergences dressé par la présidence indienne. Comme cela s’était déjà produit quelques jours plus tôt lors du G20 Energy à Goa.
Ce que le G20 Environnement de Chennai a (pas) décidé en Inde
Le seul point sur lequel les membres du G20, qui génèrent environ 80 % des gaz à effet de serre d’origine humaine, s’accordent à dire que les efforts d’atténuation « restent insuffisants ». Les pays occidentaux, menés par l’Union européenne, ont poussé à inclure dans le communiqué final du G20 Environnement un réduire les émissions de 60 % d’ici 2035 par rapport aux niveaux de 2019 et la réalisation de pic de carbone d’ici 2025. Deux objectifs conformes aux preuves présentées dans le dernier Rapport du GIEC. Mais rejeté par les pays en développement et/ou non occidentaux, dont l’Arabie saoudite et la Chine.
En cascade, tous les autres sujets de discussion concernant les émissions sont au point mort. Le communiqué de la présidence se contente de les mentionner, sans même présenter leurs positions respectives. « Les lacunes des scénarios et modèles climatiques, l’épuisement de la bilans carboneles émissions historiques, actuelles et prévues, et la nécessité d’agir pour réduire les émissions de gaz à effet de serre autres que le CO2, y compris le méthane, d’ici 2030 ont été soulignées., c’est lu au point 63 du document.
« L’Europe et l’Afrique du Nord brûlentl’Asie est dévastée par les inondations, mais les ministres du climat du G20 ne sont pas parvenus à s’entendre sur une direction commune pour arrêter la crise climatique qui s’intensifie de jour en jour »accuse Alex Scott par E3G. « Les rumeurs selon lesquelles l’Arabie saoudite et la Chine étoufferaient l’espace politique du forum même pour discuter d’une nouvelle direction sur la transition énergétique vont à l’encontre de leurs prétentions à défendre les intérêts des pays en développement ».
Après l’échec du G20 Énergie et les deux semaines perdues à débattre de l’ordre du jour du sommet préparatoire de Bonn en juin, les perspectives d’aboutir à des résultats concrets au Flic de Dubaï28 ils sont très rares.