Emissioni storiche: il colonialismo rende i grandi inquinatori ancora più grandi

le colonialisme rend les grands pollueurs encore plus grands

L’Italie passe de la 18e à la 17e place dans la liste des principaux responsables de la crise climatique

(Rinnovabili.it) – Le poids du colonialisme fait augmenter la facture émissions historiques. Si l’on considère également les gaz à effet de serre générés par les empires coloniaux dans les territoires situés au-delà de la mère patrie, la contribution au déclenchement et à l’aggravation de la crise climatique dans des pays comme la Grande-Bretagne, les Pays-Bas et la France augmente de manière disproportionnée. il a calculé Dossier Carbone.

Que sont les émissions historiques et pourquoi sont-elles importantes ?

Généralement, les émissions historiques sont comptabilisées en tenant compte les gaz à effet de serre générés de 1850 à aujourd’hui par chaque pays. De cette manière, le rôle des protagonistes de la révolution industrielle est placé dans une perspective plus correcte, par rapport à celle fournie par les données sur la révolution industrielle. émissions actuelles. Pour la première fois, une analyse attribue également aux pays coloniaux les émissions qui dérivent, historiquement, de leurs activités dans les colonies.

L’Italie double ses émissions historiques de gaz à effet de serre

Comment la liste des principaux pollueurs mondiaux évolue-t-elle avec le nouveau calcul des émissions historiques ? Les deux premières places restent inchangées : Les États-Unis et la Chine dominent avec 21 % et 12 % du total mondial.. Mais de nombreux pays grimpent de plusieurs places dans le classement.

C’est le cas de Grande Bretagne, qui voit ses volumes de gaz à effet de serre presque doubler, passant de 3 à 5,1 % du volume historique mondial, ce qui lui fait remonter de la 8e à la 4e place. DevantInde, l’ancienne colonie « joyau », qui voit au contraire sa part diminuer de 15 %. L’Hollande il en ressort avec des volumes de gaz à effet de serre triplés (35 contre 13 GtCO2) et un bond de la 35e à la 12e place du classement. Ici aussi France est fortement marqué par son histoire coloniale, avec un total en croissance de 50% même s’il ne passe que de la 14ème à la 13ème place. Le passif historique de l’UE et du Royaume-Uni, dans son ensemble, augmente de 19 % pour atteindre 478 Gt de CO2 et place le bloc au deuxième rang des plus grands pollueurs mondiaux, devant la Chine.

C’est l’Italie ? Même avec une domination coloniale plus restreinte en termes temporels et géographiques par rapport aux grandes puissances européennes, les émissions historiques de Rome ont doublé. de 25 à 50 GtCO2 et ils le font monter de la 18ème à la 17ème place au classement.

Le classement change encore si l’on utilise comme méthode de calcul les émissions coloniales historiques par rapport à la population actuelle. « Pondérés par la population actuelle, les Pays-Bas (2 014 tCO2 par habitant) et le Royaume-Uni (1 922 tCO2) deviennent les principaux émetteurs mondiaux sur une base cumulée par habitant. Viennent ensuite la Russie (1 655 tCO2), les États-Unis (1 560 tCO2) et le Canada (1 524 tCO2). »écrivent les auteurs.

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