Nuovo Decreto Energia

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Décret législatif sur les énergies nouvelles, quoi de neuf dans le projet ?

(Rinnovabili.it) – Compte à rebours pour nouveau décret sur l’énergie. La disposition contient des mesures pour la sécurité énergétique nationale, la promotion des énergies renouvelables et le marché de l’électricité et devrait arriver au Conseil des ministres cet après-midi pour le feu vert officiel. Mais depuis quelques heures, une ébauche du texte – le deuxième pour être précis – a déjà circulé sur Internet, anticipant des interventions très attendues dans le secteur de l’énergie. Dans sa forme actuelle le DL compte 11 articles, dont 6 sont explicitement dédiés aux sources d’énergie, auxquels s’ajoutent ceux dédiés aux infrastructures, aux énergies fossiles et au captage du CO2. Cependant, l’hypothèse d’une extension vers un régime de protection plus important, introduite dans le premier projet et dont il ne reste plus aucune trace, est éliminée. Mais allons-y dans l’ordre.

Décret énergie : une taxe pour les énergies renouvelables ?

Le nouveau décret sur l’énergie devrait, du moins en théorie, favoriser la diffusion des énergies renouvelables. Dans la pratique, cependant, les mesures mises en place ne semblent pas être un grand moteur. Le projet de DL introduit un Fmonde de la compensation et du rééquilibrage environnemental et territorial dédié aux Régions et Provinces autonomes pour les « inciter » à accueillir des centrales d’énergies renouvelables sur leur territoire. Une décision qui entre virtuellement en contradiction avec Décret sur les zones adaptées dans lequel chaque territoire se voit attribuer des objectifs de développement des SER à l’horizon 2030. Le fonds de 200 millions d’euros sera alimenté par l’argent des propriétaires des centrales. En effet, le nouveau décret législatif sur l’énergie prévoit que les propriétaires d’installations renouvelables de puissance supérieure à 20 kW»,qui ont acquis le titre de construction […] entre le 1er janvier 2024 et le 31 décembre 2030″correspondent au GSE a contribution annuelle égale à 10 euros pour chaque kW de puissance du systèmependant les trois premières années à compter de la date d’entrée en exploitation.

Des simplifications pour l’autoproduction des énergivores

Au lieu de cela, de nouvelles simplifications sont introduites pour les SER dans le cas des entreprises à forte intensité énergétique. Le deuxième projet de décret sur l’énergie prévoit une attribution prioritaire de la concession des centrales photovoltaïques, éoliennes ou hydroélectriques d’une puissance d’au moins 1 MW aux entités inscrites sur la liste des entreprises à forte consommation électrique. Le MASE aura pour mission de définir un mécanisme de développement de nouvelles capacités. Les entreprises pourront également demander l’avance au GSEpour une durée de 36 mois, de une partie de la quantité d’électricité renouvelableet les garanties d’origine y afférentes, à travers la stipulation de contrats bilatéraux sur différence.

Et si l’article relatif aux concessions hydroélectriques manque, celui sur les concessions hydroélectriques est confirmé. concessions géothermiques. La version actuelle du décret sur la sécurité énergétique prolonge le délai jusqu’au 31 décembre 2026. Et elle ajoute que l’autorité compétente pourra demander au concessionnaire sortant de présenter, d’ici le 30 juin 2024, un plan d’investissement pluriannuel dédié à la maintenance et aux technologies. amélioration des installations en exploitation, interventions minières pour récupérer le déclin naturel du champ géothermique et autres mesures environnementales.

De nouvelles règles pour l’éolien offshore flottant

Parmi les grandes innovations du projet, la création d’un pôle stratégique pour l’éolien flottant en mer. À cette fin, « deux zones maritimes appartenant à l’État avec la masse d’eau correspondante en face dans les limites des eaux territoriales, destinées à être utilisées pour la construction navale ». Et 420 millions d’euros sont alloués pour les années 2024, 2025, 20256 afin de soutenir : la production de plateformes flottantes et d’infrastructures énergétiques fonctionnelles pour l’installation de centrales de production d’énergie éolienne en mer ; et l’industrialisation du processus de construction d’un prototype de fondation flottante.

DL Sécurité énergétique, gaz national et captage du carbone

Le projet de nouveau décret sur l’énergie consacre certaines mesures à la « sécurité énergétique », en étendant les exemptions pour les gestionnaires de centrales de production d’électricité au charbon (>300 MW), en allouant 97,7 millions d’euros au développement de nouveaux systèmes de chauffage et de refroidissement urbains efficaces, en simplifiant le processus de création de condenseurs refroidis par air dans les centrales thermoélectriques existantes. Mais surtout en insérant le feu vert pour la culture du gaz naturel pour les concessions existantes ou nouvelles dans le nord de l’Adriatique « dans la partie de mer comprise entre le 45e parallèle et le parallèle situé à 40 kilomètres au sud de ce dernier et à au moins 9 milles des côtes ».

Les nouvelles mesures qui lui sont dédiées méritent un chapitre à part entière Stockage du CO2 en Italie. Le projet comprend à la fois des dispositions sur le stockage géologique du CO2 et des autorisations pour mener des programmes expérimentaux de CSC.

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